la photomodulation
les effets escomptés
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site de
l'European Led Academy
pénétration "des lumières" dans la peau
interactions selon leur couleur
fonction des longueurs d'onde
Contrairement aux autres méthodes utilisant la force électromagnétique dans les traitements de la peau
( des rayons " X " à la radiofréquence, en passant par les ultraviolets, les lasers et la lumière pulsée ), les LED’s procèdent par émission bio-stimulante de photons, agissant sur les cellules et structures vivantes, qui ne demande pas d’agression préalable induisant une réparation pour fonctionner.
S’en faire une idée de l’efficacité est très simple : il suffit de regarder comment le soleil induit la vitamine D ou, de façon plus évidente, le bronzage. Personne n’a l’air de s’en étonner… et pourtant, tout le monde le devrait. Car il c’est bien passé un mariage de raison entre la peau et les rayons, puisque l’homme en profite depuis la perte de sa toison.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que l’onde reste un champ électromagnétique tant qu’elle n’est pas interceptée.
La noirceur de la nuit en témoigne. Si la lumière existait en soi, sans avoir besoin d’être révélée, le ciel nocturne serait éblouissant, impossible à regarder, puisqu’illuminé par des centaines de milliards de milliards de milliards de soleils en fusion nucléaire. Mais l’espace est presque vide. Terriblement désert. La matière intergalactique qui nous sépare des lointaines étoiles ne remplirait pas une louche. Il est presque impossible pour la lumière de se cogner contre un "occupant". Et lorsqu’elle le fait, nous avons un beau clair de Lune. C’est l’interception de la lumière ondulatoire qui crée le photon, sa forme quantique particulaire. D’où cette notion conjointe de longueur d’onde toujours évoquée. Car, évidemment, c’est d’elle que dépendra la nature du photon créé.
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Voilà exactement ce qui se passe quand l’onde de lumière visible intercepte la rétine. Nous touchons au secret : l’interaction du photon avec la matière vivante provoquera une action biologique directe sur la cible déterminée.
C’est au cours de cette rencontre amicale que tout va se jouer.
Les LED’s sont des émetteurs de pinceaux de lumière choisie, dans le dessein de provoquer la photomodulation du récepteur ciblé.
Quant au reste, le champ d’application de la méthode, c’est une histoire d’expertise beaucoup trop compliquée dans la mise au point des machines et du protocole pour être racontée.
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Disons simplement qu’il y a des organites intracellulaires, probablement des bactéries primitives gobées par les cellules à l’origine de la vie, qui vivent sous protection rapprochée à l’abri des soldats de l’immunité, en échange d’un service indispensable au métabolisme de l’hôte.
Ce sont les mitochondries.
Elles savent convertir l’oxygène venu des alvéoles pulmonaires ventilés, transporté à domicile par l’hémoglobine si proche de la chlorophylle, au cours d’un marché d’électrons en équivalent d’énergie organique, but ultime de la « respiration ».
Les photons émis exciteront les membranes de ces centrales « électroniques » en optimisant leur fonction.
Mais tout ne se limite pas à ce cas précis. La photomodulation s’enrichit de vertus proclamées dans le spectre : du violet, du bleu, du vert, du jaune, du rouge et de l’infrarouge. Ce n’est que la rumeur du début de la découverte, le trésor vient à peine d’être inventé. Nous sommes tous enfants de lumière.
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