La reine de toutes les
méthodes de réparation.
​
Ne pas l'envisager est une
erreur technique.
​
La mépriser est une faute professionnelle.
​
La maitriser dans toutes les
situations est un atout.
​
Bien en connaitre ses secrets
est une quête.
lignes d'incisions préférentielles
au niveau du visage
​
Elles sont perpendiculaires à l'action dynamique des peauciers (c'est-à-dire au sens de la contraction de leurs fibres musculaires, dépendante de leur direction anatomique sujette à leurs insertions).
​
En fait, ce n'est qu'une indication pratique. La réalité est plus subtile, résultant de l'observation de la mimique, de la proximité d'un orifice (œil - narines - lèvres - oreilles), des rides dues au vieillissement cutané et surtout du pincement de la peau à distance (en fait du rapprochement des berges présupposées - en s'aidant au besoin d'un crochet), pour trouver la meilleure direction possible, qui sera souvent un compromis des données.
​
Bien sûr la forme de la lésion importe également, puisque une exérèse fusiforme est habituellement 3 fois plus longue que large. Nous verrons que ce concept est toutefois assez relatif. Y obéir aveuglément pourrait attirer un bord libre (des paupières, des lèvres, des narines, ou du pavillon de l'oreille).
​
Il faut avant tout privilégier la sécurité, en prenant soin de respecter au mieux la symétrie et l'harmonie des unités et sous-unités anatomiques…
tout en gardant à l'esprit que c'est la tumeur qui dicte l'exérèse, et non le contraire.
D'où le danger des lignes de Langers, qui sont calculées à partir des tensions réticulaires cutanée sur une de peau de cadavre. Il y manque donc l'essentiel : la dynamique du visage.
​
​
TEXTE EN PRÉPARATION